Bien sûr la ressemblance entre Mademoiselle C. et Camille CLAUDEL est évidente et réfléchie mais le texte d’Henry DUBOS ne veut pas se borner à la vie de cette grande artiste mais élargir le débat afin de démonter les mécanismes rudes du pouvoir masculin.
Alternant le chanté, le parlé et l'interlude instrumental, Henry Dubos raconte Blaise Cendrars sur une voie parallèle : il éclaire les horizons, discerne les parfums exotiques extatiques, sonde les intentions.